Chapter 387 - Revision Interface

How To Survive In The Romance Fantasy Game

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« Vous avez reçu la bénédiction d'un être primordial. »

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« Vous avez reçu la bénédiction d'un être primordial. » « Points bonus attribués ! +20 » « Félicitations ! Votre compréhension du royaume divin a augmenté ! » « Divinité +5000 » « Les effets de l'Ascension ont augmenté. Temps limite total avant la rupture du seuil de l'âme : +20 minutes. » « Note : L'aura de la mort résonne en vous. » « Compétence bénie : Essence de la Mort » [Activée] « Tous les êtres près de vous seront désormais en présence de la mort que vous incarnez. » « Êtres éligibles au [Sceau de l'Oubli] identifiés : x1. » « La mort véritable peut désormais s'appliquer à l'ennemi immortel. » — Alors que la bénédiction d'Erebil parcourait mon être, quelque chose en moi changea profondément. Une puissance—une vague de pouvoir insondable—gonfla en mon cœur, pourtant mes statistiques et mon niveau restaient inchangés. Ce n'était pas une augmentation brute, mais quelque chose de fondamental avait été altéré. C'était comme la sensation d'un niveau gagné, mais plus profond. Plus intense. Comme si mon existence même avait été réécrite. Un son sourd et résonnant émana de ma poitrine. Un battement. Puis un autre. « Note : Compétence [Seigneur de la Lumière] Désactivée. » La chaleur en moi—la lueur vacillante de la lumière—disparut en un instant, éteinte comme une braise mourante. L'obscurité prit sa place. Pas une ombre extérieure, mais une intérieure—un abîme qui griffait son chemin à travers mon être. Devant moi, la Reine Blanche bondit en avant, sa radiance fendant le champ de bataille— Mais je ne la regardais pas. Ce que je voyais à la place… C'était un cœur. Un cœur noir profond, battant lentement, délibérément. Il flottait dans les airs, suspendu dans le miasme toxique et tortueux de la mort. —Boum ! Un réseau épais de chaînes noir-rouge l'enveloppait—chaotiques, emmêlées, s'enroulant et se déroulant comme si elles étaient vivantes. Me protégeant. Me protégeant de l'abîme qui menaçait de tout engloutir. J'expirai lentement. Ce pouvoir—cette malédiction—était désormais mien. Mais même ainsi—même avec toute cette puissance qui coulait en moi— Je sentais qu'elle était retenue. Quelque chose la contenait, l'empêchant d'atteindre son plein potentiel déchaîné. Et je ne pouvais pas me le permettre maintenant. Pas quand mon ennemie était quelqu'un qui pouvait plier les règles mêmes du monde autour d'elle. Même avec la mort à mes côtés, à quoi bon si la réalité elle-même refusait d'en reconnaître la finalité ? C'est pourquoi… Je les regardai. Les chaînes. Je ne savais pas ce qu'elles étaient, ni pourquoi elles m'entravaient si étroitement. Mais une chose était claire—elles me retenaient. Je saisis ma poitrine, mes doigts s'enfonçant dans ma peau jusqu'à sentir la masse froide et enroulée en dessous— Et puis, sans hésitation, je déchirai les chaînes. Elles résistèrent. Elles ripostèrent. Mais face à la mort… ? Face à sa nature inévitable, absolue ? Même le chaos lui-même n'avait d'autre choix que de céder. Je ne savais pas combien de temps cet état durerait—que ce soit temporaire ou non n'avait pas d'importance. Tout ce dont j'avais besoin, c'était d'un instant. Juste un instant. Et cela suffisait. — HUAAAAAAAGHHHHH—!!!!!! Un cri déchira l'immensité de l'espace. La voix de la Reine Blanche—perçante, emplie d'un mélange indescriptible de rage et de douleur. La seconde d'après— Une vague de silhouettes émergea devant moi. Des versions multiples et changeantes d'elle-même. Des clones… L'une des capacités les plus agaçantes qu'elle possédait dans le jeu. Ce n'étaient pas de simples projections. Chacune—chaque unique—était une réplique exacte, presque identique à l'originale en statistiques et en capacités. Même si elles n'étaient pas la véritable Reine Blanche, dans son domaine— Elles l'étaient pratiquement. J'expirai. Puis, calmement, je tendis la main. L'air autour de moi s'assombrit. Une noirceur profonde, dévorante—le miasme de la mort—se déploya comme une marée lente, s'étendant dans toutes les directions. Les figures de la Reine Blanche—ses multiples soi—se tenaient aux limites de ma vision. Mais à cet instant, alors que je sentais le poids écrasant de mon propre pouvoir, l'abîme que je maniais désormais— Je réalisai quelque chose. Je peux tous les tuer. Saisissant Valeria fermement, je sentis la vague de puissance qui coulait en moi, activant quelque chose de profond dans la lame. La lumière radieuse qui entourait autrefois son tranchant— S'assombrit. Plus sombre que l'abîme lui-même. Plus sombre que le vide qui s'étendait sans fin autour de moi. Plus sombre que la mort. J'expirai lentement, me stabilisant. Puis— J'ouvris les yeux. Tout dans mon champ de vision s'affina. Chaque compétence de mouvement à ma disposition—activée. Le monde changea. Il se tordit, se déforma—le temps lui-même ralentit alors que mon corps s'adaptait à la puissance écrasante qui coulait désormais dans mes veines. Et devant moi— Mille Reines Blanches se tenaient à l'unisson. Chacune identique. Chacune rayonnant une puissance suffisante pour briser les âmes, déformer la réalité et réécrire l'existence elle-même. Même avec ma nouvelle force, je pouvais sentir mon âme trembler sous l'immense pression. Se brisant. Mais je n'avais aucune raison de faiblir. Aucune raison de perdre. Pas maintenant. FOOOOSSHHH!!!! Une seule explosion de vitesse— Et j'avais disparu. L'instant d'après, ma lame trancha la première Reine Blanche. Un seul coup, absolu. Son être tout entier se brisa en un instant, se dissolvant en une brume cendrée de pure obscurité. Ce n'était pas juste une coupure physique. Valeria trancha quelque chose de bien plus profond que la chair— L'essence. Le moment où les autres virent cela—la finalité absolue de cette destruction— Elles hésitèrent. Même si ce n'était que pour une seconde. Mais l'hésitation ne dura pas. Car l'instant d'après— Elles ripostèrent. Sans relâche. Des cercles magiques s'embrasèrent—des dizaines, puis des centaines, puis des milliers. Une tempête de lumière, de feu et de destruction. Une symphonie de sorts, tissant une catastrophe dévorante qui pouvait m'effacer en un instant. Mais je bougeai. Plus vite. Plus précisément. Mon corps dansa à travers le champ de bataille, traversant le vide comme une étoile noire filant à travers son étendue blanche. Chaque sort qu'elle lançait—je le renvoyais décuplé. Chaque attaque—contrée. Des explosions éclatèrent autour de moi, des ondes de choc de destruction entrant en collision avec mes propres lames de mort. Le choc de la lumière et de l'obscurité envoya des ondulations à travers la réalité elle-même, le champ de bataille se déformant sous la force pure de notre combat. Et pourtant— Même alors que je les abattais, que je les noyais dans la mort— Leur nombre ne cessait de croître. Une marée sans fin de Reines Blanches. Une armée incessante, infinie, d'elle-même. Mais malgré tout— Je ne m'arrêtai pas. Manier mon épée sans relâche… Je tuai chaque être blanc devant moi…. « Note : Félicitations, vous avez gagné un niveau ! » « Niveau +1 » « Niveau +1 » « Niveau +1 » « Niveau +1 » « Niv... » ... .... .... ...…. Le combat faisait rage comme une tempête cosmique, un affrontement apocalyptique où lumière et obscurité s'entrelaçaient, entrant en collision comme mille soleils explosant tout autour d'elle. Pour la première fois de son existence— La Reine Blanche sentit la mort se rapprocher plus que jamais. Une par une— Minute après minute. Seconde après seconde. Instant après instant. Chaque reflet, chaque fragment d'elle-même qu'elle projetait dans l'existence était abattu. Effacé. Détruit. Et tout cela par les mains d'un seul garçon. Une anomalie aux cheveux dorés dans le destin qu'elle avait soigneusement tissé. Une perturbation. Une faille dans le futur qu'elle avait cherché à façonner. Pourtant— Peu importe comment elle essayait de réécrire la réalité, de plier les lois mêmes qui régissaient l'existence— C'était inutile. Son épée était trop rapide pour être esquivée. Trop puissante pour être bloquée. Elle tordit le monde—brisa ses règles, remodela ses vérités— Mais il y avait des choses qu'elle ne pouvait pas changer. Des lois primordiales. Des vérités absolues. Et parmi elles— La mort se tenait au-dessus de tout. Une fin immuable, une certitude inébranlable qu'aucune puissance ne pouvait défier. Et il la maniait comme sienne. La tempête incessante et implacable de ses coups ne faiblissait pas. Même alors que le poids de son propre pouvoir menaçait de le briser— Même alors que la pression du combat aurait dû écraser son corps, son esprit, son âme même— Il ne s'arrêta jamais. Comme un dieu d'une énergie infinie, inébranlable— Comme une force irrésistible liée à une seule vérité. La mettre à mort. Et pourtant— « Héhé… il est vraiment beau, tu sais~ » Une voix. Faible. Lointaine. Familière. Un souvenir émergea—une réminiscence enfouie au plus profond de l'abîme en elle… Une voix qu'elle connaissait. Une voix qu'elle avait abandonnée depuis longtemps. —C'est vrai. Cet être rouge… Celui dont elle avait autrefois parlé… Il était destiné à quelque chose de plus grand. Et il était vraiment— Beau. Quelque chose s'agita en elle. Quelque chose qu'elle n'avait pas ressenti depuis des éons. Un sentiment étranger et pourtant— Si douloureusement familier. Il est fort... Même alors que la mort se rapprochait, même alors que la fin approchait— Elle se sentit fière. Et pour la première fois depuis l'éternité— Elle se sentit… soulagée. Pourquoi ? Pourquoi se sentait-elle soulagée ? Pour qui ? Non… La sensation était étrangère—inconnue—fausse. Et pourtant, elle était indéniable. Elle réalisa alors— Le soulagement n'était pas pour elle. C'était pour quelqu'un d'autre. Mais pourquoi ? Une question plana dans son esprit—une question à laquelle elle ne pouvait pas encore répondre, mais d'une manière ou d'une autre, dans un sens profond, insondable… Elle la ressentit. Un paradoxe grandissant. Une contradiction. Qui avait commencé au moment où elle avait rencontré l'anomalie dorée. Et puis— BOOOOOOOOMMMMM!!!!! Le monde trembla. La réalité elle-même sembla se fracturer alors qu'une autre explosion éclata— Une qui ondula à travers l'existence comme mille autres explosions détonant toutes à la fois. Et au milieu du chaos, elle le vit. —Il faiblissait. Le regard de la Reine Blanche s'aiguisa. L'anomalie aux cheveux dorés qui l'avait si bien défiée—fléchissait. C'était logique. Peu importe sa puissance— Il n'était qu'un mortel. Et manier l'autorité sur la mort n'était pas quelque chose qu'un simple humain pouvait faire sans conséquences. Il y avait des règles— Il y avait des conséquences. Et personne, pas même lui, ne pouvait les ignorer. Si le combat se prolongeait encore— Elle gagnerait. Elle le savait. Il le savait. Mais— Elle savait aussi. Il ne le permettrait jamais. Et elle-même— N'avait plus la force de continuer à diviser son existence en mille fragments supplémentaires. Le temps était compté. Pour eux deux. Mais même avec tout cela— Elle détenait toujours l'avantage. Le jeune homme ne la trouverait jamais parmi l'infinité de ses clones. Chacun d'entre eux était réel. Chacun d'entre eux était un fragment d'elle-même. Et en fin de compte, c'était sa réalité. Une réalité qu'elle avait créée. Peu importe ce qu'il faisait— Peu importe la puissance qu'il maniait— Elle pencherait toujours en sa faveur. D'une manière ou d'une autre. C'est pourquoi— Sacrifier mille d'entre elle ne signifiait rien. Car pour chaque mille perdu— Un autre mille prenait leur place. Et dans ce cycle sans fin— Un de ses nouveaux soi prit forme. Un fantôme avec un arc et une flèche. Elle n'avait besoin que d'une seule ouverture. Une seule chance. Un seul instant où il laissait la moindre faille dans ses défenses— Et elle pourrait tout terminer. Ses doigts s'étirèrent, tirant la corde de l'arc— La pointe de la flèche scintilla en blanc. Plus brillante. Plus brillante. Jusqu'à ce que sa lueur rivalise avec le concept même d'une étoile— Et puis— -FSOOOOOOOOSSHHHHHHHH!!!!!! La réponse devint claire. Pour affronter un héraut de la mort— Elle avait besoin de la mort elle-même. Même si ce n'était qu'une imitation. Même si ce n'était qu'une ombre du véritable oubli— Dans son domaine, une ombre suffisait à devenir réalité. [Flèche de la Mort] Un seul coup. Et l'anomalie— mourrait. Alors qu'elle regardait— Il se rapprocha. Chaque coup de sa lame abattait un autre fragment de son existence. Des milliers de ses clones se réduisirent à des centaines. Des centaines devinrent des dizaines. Et ces dizaines— Deviendraient bientôt rien. La silhouette noire traversa tout. Une calamité en mouvement. Et alors que les deux derniers clones restants combattaient désespérément pour gagner du temps— L'anomalie aux cheveux dorés trancha le premier d'un seul mouvement fluide. Un croissant sombre jaillit de la pointe de sa lame. Une entaille si profonde, si absolue— Que le clone n'eut même pas le temps de crier avant de cesser d'exister. Maintenant— Il n'en restait plus qu'un. Elle. La fin était inévitable. Elle serait la prochaine. Mais alors— « Kugh ! » Du sang noir gicla. Le jeune homme chancela. Et à cet instant— La Reine Blanche le vit. La chance qu'elle attendait. L'ouverture qu'elle avait orchestrée. Ses doigts bougèrent avant que la pensée ne puisse suivre. La corde de l'arc se détendit. Et de celle-ci— La Flèche Blanche fut projetée. Un éclair aveuglant de lumière— Plus rapide que la pensée. Plus rapide que le destin. Elle traversa l'espace, une comète de pure annihilation, visant directement son cœur. Je gagne. Le moment où elle l'atteindrait— Sa victoire serait assurée. Un petit sourire effleura ses lèvres pâles. Mais alors— VASSHHHHHHH!!!!!!! Une lumière rouge éclata devant le jeune homme— Et le monde se brisa. La Flèche Blanche— L'incarnation de sa réalité absolue— Se brisa. Comme du verre fragile. ?????????????????????? Son esprit refusa de le comprendre. C'était impossible. La flèche qu'elle avait tirée— Ce n'était pas juste une attaque. C'était une vérité. Une loi de la réalité qu'elle avait tissée dans l'existence. Il n'y avait aucune force dans ce monde qui aurait dû pouvoir la nier. Mais alors— Alors que la lueur rouge s'estompa— Elle comprit. Je vois… C'était elle. La Reine Rouge. Et à ses côtés— Le Gardien Rouge. Ses opposés. Pourtant— Les seuls qui pouvaient égaler sa réalité. Boum— ! Son cœur blanc battit. Une sensation étrange traversa sa poitrine— Pas de la peur. Pas de la haine. Quelque chose d'autre. Quelque chose… de chaud. Quelque chose d'étranger. De la joie ? Pourquoi ? Pourquoi se sentait-elle ainsi ? Sa flèche avait manqué. L'anomalie— La calamité aux cheveux dorés— Était toujours debout. Son ennemie mortelle— La Reine Rouge— Était apparue devant elle. Elle aurait dû être furieuse. Elle aurait dû ressentir de la rage. Et pourtant— Du soulagement. C'était ce qui l'emplissait. C'était ce qui pulsait dans ses veines. Son cœur battit une fois de plus. Et elle ne comprenait pas pourquoi. Pourquoi était-ce acceptable ? Pourquoi était-elle contente que sa flèche n'ait pas touché ? Pourquoi sa poitrine lui faisait-elle mal à la vue de la Reine Rouge à ses côtés ? Ses mains tremblèrent. Elle avait encore assez de puissance pour un dernier tir. Invoquant son arc une fois de plus, elle tendit la corde. Ses doigts tremblèrent— Pas de fatigue— Mais des émotions qu'elle ne pouvait comprendre. Elle verrouilla à nouveau sa cible sur l'anomalie. Prête à tirer. Mais alors— La Reine Rouge bougea. Apparaissant à ses côtés. Ils se tenaient ensemble— Les yeux dans les yeux— Partageant un moment silencieux. Et puis, d'un seul mouvement— Ils se tournèrent vers elle. Boum ! Son cœur battit à nouveau. Une vague de bonheur. Plus forte qu'avant. Son énergie explosa. FOOOOSHHHHHH!!!!! C'était ça. Son attaque finale. Sa dernière chance d'amener la mort inévitable qui devait les revendiquer tous les deux. Elle mit tout dans la flèche. Un dernier tir. La flèche se divisa en deux. L'espace autour d'elle se tordit et se plia sous la puissance pure. Sa volonté se manifesta en réalité. Cette fois— Cette fois, elle mettrait fin à tout. Et pourtant— Ses ennemis… Ils ne firent que sourire. Ensemble— La Reine Rouge et l'anomalie saisirent l'épée noire. Leurs mains jointes. Et puis— VOOOOOOOOOSHHHHHHHHH!!!!!!! Une vague cataclysmique d'énergie rouge et sombre jaillit de la pointe de l'épée. Le tissu même de l'espace se fissura. Le monde se déforma. Un vortex de néant s'étendit, engloutissant tout sur son passage. Ses flèches furent tirées— Mais avant qu'elles n'atteignent leur cible— Silence. Immobilité. Et puis— La lame tomba. [Lame Cachée : Forme Finale] [Espace Nul] Le monde— Devint noir. Tout son s'éteignit. Toute lumière disparut. Et dans ces derniers instants— Alors que son existence se dénouait— Alors qu'elle s'évanouissait dans le vide— La dernière chose qu'elle vit— Fut le doux sourire de la Reine Rouge. Et puis— Une voix. Douce. Aimante. Une voix qu'elle avait oubliée. Une voix qu'elle avait longtemps rejetée. « Au revoir, Mère. » …Mère ? Les mots la transpercèrent plus profondément qu'aucune lame n'aurait pu. Et pour la première fois de son existence— … c'est vrai… ma chère fille… je suis contente… Un sourire sincère effleura ses lèvres. Alors que des larmes coulaient de ses yeux blancs… Elle disparut.